• En réponse à l'une de ses questions « Qu'est-ce que tu dirais et écrirais si j'étais une nymphomane ... »

    A toi grosse salope lubrique qui adore pomper ma bite... 

    La nuit est calme et, enveloppée dans la douceur moite des draps, je me laisse envahir par l'impatience de retrouver celui que surtout mon corps avide d'étreintes et de jouissances et un soupçon de mon cœur, dans un parfait accord, ont choisit pour satisfaire mes envies... « l'envie d’être aimée charnellement, câlinée, caressée, sucée, léchée, lapée, tringlée et comblée d'intromissions vaginales et anales, l'envie d'idolâtrer passionnément un amant merveilleux admirablement doté d'un service trois pièces qui me fait fantasmer, lui accorder mille et mille privautés concupiscentes, luxurieuses, grivoises, libidineuses et voluptueuses et, l'envie, surtout, de me goinfrer buccalement, jusqu'à plus soif, de son ithyphalle priapique duquel, porté à la volupté orgasmique, coule une liqueur aphrodisiaque au goût délicat et exquis... »

    Quand l'érotisme...

    Il faut dire que je suis une grosse salope lubrique, de taille imposante, aux formes plus que généreuses, des nichons abondants et volumineux, qui aime le sexe et qui ne m'en cache pas. A la limite nymphomane, bien en chair et dodue, la chatte en feu et un appétit inassouvi de bites je n'attends, d'un mâle bien monté, que trois choses existentielles pour assouvir mon avidité friponne : une bonne pipe goulue en gorge profonde, une bonne dilatation anale et un bon pétage de rondelle, et une belle queue tout dure, dans ma chatte humide, qui me ramone la chatière à grands coups de cognée bucheronne.

    Quand l'érotisme...

    Dans le silence de la nuit, les heures s'écoulent lentes et je me languis dans l'attente de la venue prochaine de mon amant, pas tout jeune, certes, mais bien monté, toujours vert et en forme pour parvenir à assumer trois ou quatre orgasmes dans une même journée. En outre sa bite réagit d'une manière admirable à toutes mes sollicitations et elle gonfle, se raidit et pointe vers ma bouche dès que ma main fureteuse la taquine ou que ma bouche gourmande l'effleure et ma langue lèche son prépuce et son méat. Avec lui, ce qui me rend vraiment heureuse c'est qu'il sait faire dilater mon minou bien gazonné, humide et docile, et distendre mon troufignon en le doigtant, un doigt, puis deux, puis son gland appliquant une pression douce, mais ferme et régulière...

    Quand l'érotisme...

     Et comme je transpire la passion du sexe, demandant et quémandant toujours de la bite, son pieu sait comment remplir ma bouche, quand je lui pèle le jonc, du jus de ses boules et comment défoncer ma chatte et mon petit trou du cul comblant, ainsi, mes envies insatiables. Enfin, avec lui, et en sa chaude compagnie, mon corps se libère de tout tabou car il a compris, qu'après une turlute baveuse il doit vite planter son chibre dans ma moule et la limer sans pitié ou, suivant mes humeurs, l'enchâsser dans mon fion pour le besogner sans ménagement. Expert dans l'art de la baise, il me tourne et me retourne dans toutes les positions martelant ma choune ou mon troufignon à grands coups de butoir. Et mes gémissements le mènent à déverser, au fond de mes entrailles, un flot de foutre qui trempe mon corps sublime de chaudasse affamée, boulimique et dévoreuse de bite...

    Quand l'érotisme...

    Ce soir, comme tous les autres soirs que je le sais loin, loin de moi, je ne dors pas et les nuits me paraissent longues et éternelles. Alors mes yeux s'extasient de mes deux monstrueux globes mammaires qui, émergeant des draps, pointent leur tétine arrogante et semblent bondir vers l'avant en se dandinant légèrement. Je n'oublie pas que je suis une bonne femme grosse et salope, obèse mais sexy, plus que grassouillette et aux chairs tombantes quand mon corps est dénudé. Mais j'assume entièrement mon obésité et mes rondeurs et je n'hésite pas à mettre en avant et à exhiber sans tabou mes formes généreuses et mes rondeurs quand mon mec investit, de sa présence, mes appartements.

    Quand l'érotisme...

    Les deux aréoles bistres, très larges, dardent et me narguent. Les yeux chavirés, je contemple, émue, bouleversée et haletante, mon corps superbe. Je m'étire de tout mon long et toutes mes boursouflures charnelles et tous les replis de ma peau ondoient sous l'effet d'une excitation majeure. Ma main gauche se plaque soudain sur mon ventre pendant que ma main droite enferme brutalement un sein que je pétris frénétiquement en gémissant de plaisir. Je suis déjà au bord de l'orgasme. Mes doigts effleurent ma moule détrempée, mon pubis pointe vers l'avant, en un appel sauvage. Éperdue, je chasse les draps qui recouvrent mon gros tas de viande et je me roule sur le lit telle une chatte en chaleur.

    Quand l'érotisme...

    N'y tenant plus, je caresse lentement et longuement mes cuisses. Et, passant un doigt habile sur mon clitoris turgescent, je reprends l'exploration de ma foufoune ouverte comme une huitre. Je sens la cyprine ruisseler entre mes fesses et je contiens mon orgasme à grand peine. Redressant la tête un instant, j'aperçois, renvoyée par le miroir, l'image de grosse femme avide et délicieusement ronde et en surcharge pondérale et de mon corps alangui. En proie à un spasme violent, je rentre brusquement mon ventre, j'écrase mes seins et me mets à les peloter et à le tournebouler vigoureusement en décrivant de grands mouvements circulaires. Soudain, je sens mes entrailles et mon vagin exploser. Je pousse un cri sauvage et je jouis éperdument, longuement tout en enfonçant mes doigts sur les bouts de mes seins. Tout mon corps cabré reste suspendu, pendant un temps indéfini, à la puissance de l'intense orgasme qui me submerge et m'entraine dans le charivari d'un sensuel érotisme à connotation pornographique.

    Quand l'érotisme...

    Encore toute frissonnante et loin d'être calmée, j'en viens à imaginer, le penchant et l'envie de sentir la présence de mon mâle, appareillé d'un service trois pièces d'apparat et de compétition, auprès de moi, le penchant et l'envie de goûter et de lécher et de sucer son sucre d'orge de gros calibre, que son phallus, tout gonflé de désir, brandi, rigide et frémissant d'appétence vulvaire, au bord de l'éjaculation, parcourt mon ventre. Il flagelle ma poitrine et s'enfonce dans la tiédeur de mes seins. Et, enfin, il se présente en surplomb de mes lèvres avides de le gober sur toute la longueur de sa hampe jusqu'à la garde, de lui titiller le gland et de glisser ma langue dans la fente de son méat. Mais, espiègle et malicieux, il se refuse à être sucé, léché, lapé et pompé. Me laissant sur la faim d'en avaler son jus, il redescend vers mon ventre.

    Quand l'érotisme...

    Subitement, une idée m'envahit et me submerge : « Si en rapprochant mes épaules, mes seins emprisonnaient la verge et la coinçaient ? » Le mouvement accompagnant l'idée géniale qui m'a traversé l'esprit, j'écrase mes nichons entre mes bras. Je me prends à malaxer mon opulente poitrine et à la triturer dans tous les sens en poussant des petits cris de plaisir. Et, toutes mes entrailles retournées, tous mes sens exacerbés, j'endure la sensation indicible de voir le phallus rougeaud de mon amant aller et venir entre mes seins. Subjuguée, je fixe son bout turgescent qui s'approche et s'éloigne de mon visage et qui me nargue et me fait la nique.

     
    la suite en cours de correction...

    aucun commentaire
  • En réponse à l'une de ses questions « Qu'est-ce que tu ressens quand je te suces... »

    A toi grosse salope lubrique qui adore pomper ma bite...

    D'abord je voudrais te dire que j'apprécie quand tu me suces... et j'adore ta manière de me tailler une pipe... mais j'aimerais que tu varies les scénarios et que ce ne soit pas à chaque fois dans ta chambre et sur ton lit comme il en est depuis que je viens te retrouver dans ton appartement. Non ce n'est pas un reproche mais un plaisir intense que j'aimerai qu'il soit renouvelé et toujours nouveau et toujours plus excitant et plus intense.

    Accueil

    Aussi j'apprécierai si tu variais les lieux dans ton appartement, - ta chambre et ton lit, bien sûr, mais dans ton couloir d'entrée à mon arrivée, ta salle à manger, ta cuisine, ta salle de bain ou quand on est à table pour déjeuner... - , les positions, - te placer entre mes jambes pendant que je suis allongé sur le dos, agenouillée devant moi tandis que je suis debout ou agenouillée sous la table quand je suis assis au moment du déjeuner, le 69... -,  et les scénarios érotiques :

    Accueil

    - me déshabiller avec lenteur quand j'ai passé ta porte et que tu l'as refermée derrière moi avec des caresses sur tout mon corps, des bisouillages, des léchages de ma poitrine, de mon ventre, de mes cuisses, de mon entrecuisse, de mes fesses, de mon dos... et que ton temps ne soit pas compté dans ces préliminaires ; il peut en être de même dans toutes les pièces de ton appartement si je suis habillé...

    Accueil

    - quand je suis dans ta chambre et étendu sur le lit, tu peux commencer par masser mon corps avec une huile de massage et agrémenter ce massage de bisouillages, de léchages de ma poitrine, de mon ventre, de mes cuisses, de mon entrecuisse, de mes fesses, de mon dos... et que ton temps ne soit pas aussi compté dans ces préliminaires. Tu peux te coucher sur moi et faire glisser ton corps sur le tout le mien, des pieds en cap et de cap en pied. Quand je suis couché sur le ventre, n'hésite pas à laper mes muscles, titiller mes fesses, glisser ta langue dans la raie de mes fesses, les écarter de tes mains, titiller la rondelle de mon anus, l'entre écarter de tes doigts et glisser ta langue dans mon trou du cul, et renouveler plusieurs fois en descendant et en remontant tout au long de mon corps... et agir de même quand je suis le dos. Et alors glouglouter et mordiller mes muscles, titiller mes tétons et les téter... m'exciter en caressant ma verge, mon ventre, ma poitrine avec tes seins ou en plaquant ta chatte sur mon bas ventre afin qu'elle touche mon braquemart bien raide et dur mais sans le laisser te pénétrer, et ramper au-dessus de mon corps afin que tes seins viennent à hauteur de ma bouche pour que mes lèvres chouchoutent tes tétons, et puis ta chatte qui vient frôler mon visage pour que je puisse la sucer, la lécher et boire ta jouissance, et aussi renouveler plusieurs fois tant en descendant qu'en remontant tout au long de mon corps...

    Accueil

    - et je t'invite à trouver des scénarios érotiques aussi excitants quand tu as envie de me sucer si nous sommes dans ton salon ou dans ta cuisine ou dans ta salle de bain...

    C'est toi qui m'a donné ces envies et cette attente d'excitations et de plaisirs de plus en plus intenses dès le jour où nous sommes vus la première fois et où, après que tu sois montée dans la voiture et que ta main se soit posée sur ma braguette nous avons découvert un petit coin tranquille... Puis, en me demandant... « je peux », tu as fébrilement déboutonné ma braguette et tu as commencé à caresser avec douceur et envies ma bite, d'abord sur le tissu de mon slip, ensuite après l'en avoir extrait... et quand tes lèvres et ta bouche ont pris mon braquemard et ont commencé une divine fellation, tu m'as conquis... et je ne peux plus me passer de tes caresses buccales, labiales et linguales auxquelles il ne manque qu'un petit détail... et, quand je suis au bord de l'orgasme, avaler mon petit Jésus sur toute sa longueur et le pomper...

    Accueil

    Appréciant, à juste titre, tes caresses buccales, labiales et linguales, mes testicules, mon périnée et mon anus doivent être, pour toi, outre la hampe de ma verge, le gland et son pourtour, la couronne et le frein, des centres d’intérêt directeur, aussi bien avant que pendant et après m'avoir amené, par une chaude fellation érotisante, érotique et voluptueuse, à l'orgasme. Et variant les plaisirs que tu me prodigues (caresses, massages, léchage, ...), mon corps s'animera de trémoussements, de spasmes sensuels et se durcira et se cambrera pour recevoir plus et toujours plus de plaisirs intenses… Les rares fois où tu as commencé par me titiller, avec le bout de ta langue, le gland très doucement tout en stimulant, avec une main, mes mamelons, mes testicules, mon périnée, mon anus..., je sentais l'exaltation sensuelle m'envahir à chacun de tes frôlements de langue, mais cet instant avait toujours été trop bref car tu avais été pressée de prendre en bouche mon petit jésus…

    Après des préliminaires gorgés de caresses et d'attouchements voluptueux, mon pénis t'est tout offert : le sucer, le lécher, le laper et le prendre dans ta bouche m'apporte une sensation d'abandon de moi comme un prémisse qui me transportera, en finalité de la fellation, à la volupté orgasmique et au déversement, dans ta bouche d'une liqueur qui a, pour toi, un goût de miel délicat et exquis...

    Accueil

     Quand une de tes mains enserrent mes testicules, j'en frissonne et il ne fait aucun doute, alors, que tu maîtrises mieux le mouvement de va et vient et par la même tu pourrais mieux contrôler et dominer la profondeur et avaler ma bite de plus en plus loin jusqu'à frôler mes testicules avec tes lèvres.

    Appréciant la manière dont tu gratifies ma bite de caresses buccales, labiales et linguales, j'en apprécie plus la pipe ou la turlute (je ne sais pas le mot que tu lui donnes) quand tu utilises beaucoup de salive pour humidifier mon gland et ma verge, c'est d'autant plus agréable pour moi de gouter aux délices de la fellation. Une seule fois tu as bien humecté, avec beaucoup de salive, mon thermomètre à moustaches, et la suite a été un véritable délice des sens quand tu m'as léché le gland, son pourtour… puis quand tu as pris la moitié de mon pénis dans ta bouche et que tu as effectué un mouvement de va-et-vient simulant la pénétration : de haut en bas et de bas en haut, avec beaucoup de lenteur et de suavité, sur la moitié de la longueur de ma hampe pinienne. Je suis aux anges quand tu n'oublies pas que le frein, cette minuscule membrane verticale située sous la couronne, est très sensible, et que tu fais aller et venir ta langue dessus, dans un mouvement léger et rapide, puis que tu me lèche ma bite jusqu'à sa base.

    Accueil

    Mon gland et la couronne sont également très sensibles. Pourquoi ne te places-tu pas à l'envers, c'est à dire en regardant vers tes pieds, presque en semi-position de 69, ta langue pourra couvrir une plus grande surface de mon gland. Et, en plus, moi j'aurai un accès direct à tes fesses et ta chatte, ce qui est très agréable pour tous les deux, d'autant que je pourrai caresser ta vulve et ta rondelle anale, les lécher, titiller et masturber avec ma langue et mes doigts, ton clitoris, et, fourrager avec ma langue et avec un ou plusieurs doigts, et pourquoi pas la main en son entier si ton garage à bites en accepte sa venue, dans ta moule bien ouverte, dégoulinante de ta mouille, et dans ton anus préalablement humecté de salive.

    Accueil

    Ce qui me donne le plus de frissons, c'est quand j'approche de l'orgasme, et j'ai connu ce moment délicieux une fois. Tu avais intensifié et prolongé mon plaisir, en arrêtant la délicate et excitante pipe dont tu me gratifiais, au bord de l'orgasme et tu avais stimulé, avec ta bouche, tes lèvres et ta langue, mes testicules, mon périnée et mon anus, et que tu avais repris ma bite dans ta bouche dans un lent va et vient et des caresses sur mon gland et répété au moins une fois la stimulation, avec ta bouche, tes lèvres et ta langue, de mes testicules, de mon périnée et de mon anus. Je pense que je n'ai jamais été autant excité par une de tes pourtant très excitantes fellations qui me procurent un plaisir intense...

    Accueil

    Et tu comprends mieux, maintenant, pourquoi j'ai autant de plaisir à jouir et à cracher le jus de mes boules dans ta bouche...

    aucun commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique